En formulant plusieurs principes qui devraient contribuer à l’amélioration du travail pédagogique à l’école, E. Fedoruk en même temps s’appuie sur certains principes théoriques linguistiques qui sont à découvrir « entre les lignes » de cet article. Il s’agit tout d’abord du principe des liens directs entre la langue et la pensée : en étudiant la langue, les élèves en même temps « se joindraient aux richesses de la pensée humaine » en général. C’est pourquoi encore, le travail sur la langue à l’école est considéré si important. D’autre part, le problème du « langage des dictateurs » est implicitement posé dans l’article : le langage des chefs soviétiques (Lénine, Staline) est considéré bon a propri. Cela explique en grande partie le choix des exemples linguistiques dans cet article.
(Katja Velmezova)